Pasquale Schar
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Pasquale Schar est un sénateur français domicilié à Millennium City. Il a longtemps été le conseiller de Jacques Bernardette, alors encore seulement président du PPR, la Parti Pour la République. Ancien ministre, ancien député, il est impliqué dans plusieurs affaires et s'est vu condamner à la prison avec sursis pour certaines d'entre elles.
Contents
- 1 Biographie fictive
- 1.1 Carrière politique
- 1.2 Les affaires politico-financières
- 1.2.1 Affaire du siède du GEEK-Stone
- 1.2.2 Affaire des rétro-commissions de la Sofmarcel
- 1.2.3 Affaire du casino de Haute-Savoie
- 1.2.4 Affaire du casino de Garches
- 1.2.5 Affaire du pétrole Irakien
- 1.2.6 Affaire du Musée des Hauts-de-Seine
- 1.2.7 Affaire de l'assistant
- 1.2.8 Incident diplomatique avec le Liban
- 2 Caractéristiques
Biographie fictive
Carrière politique
les années 80
Son ami Jacques Bernadette
Dès 1982, Pasquale Schar apporte son aide très précieuse dans la carrière politique de Jacques Bernardette, alors président du PPR, le Parti Pour la République. Sur le plan politique, il est un temps pressenti pour devenir le nouveau maire de Neuilly, mais il est devancé de justesse par un autre homme politique qui deviendra célèbre, Nicolas Sarkmésis. Alors que la France traverse une période de très faible croissance et suite aux élections législatives de 1986, Jacques Bernardette devient le Premier ministre de François Mitron, au grand dam de Jean-Marie Lipoune. Pasquale Schar devient alors ministre de la Sécurité Nationale dans ce premier gouvernement de cohabitation.
Ministère de la Sécurité Nationale
Pasquale Schar profite de son mandat de ministre pour développer un réseau de relations conséquent. Fidèle lieutenant du Premier ministre, il applique une politique volontairement sécuritaire, trop pour les membres de l'opposition. Il est à l'origine de plusieurs lois censées rendre plus compliqué le séjour des immigrés clandestins ainsi que l'obtention de la nationalité française. Il est également à l'origine d'un projet visant à rétablir la peine de mort, projet qui ne verra jamais le jour.
Elections de 1988
Pasquale Schar soutient Jacques Bernardette lors des élections présidentielles de 1988, mais ce dernier sera battu par François Mitron. La réélection de François Mitron signifie la fin du mandat de Pasquale Schar en tant que ministre de la Sécurité Nationale. Il prend alors les fonctions de président du Conseil Général des Hauts-de-Seine, fonction qu'il quittera en 2004.
les années 90
Un nouveau parti
En 1991, Pasquale Schar fonde avec Philippe Le Joly le Mouvement Français, mouvance politique qui s'oppose à l'inclusion de la France dans l'Europe et invite à voter « non » au référendum de Maestricht.
A nouveau ministre
Pasquale Schar devient à nouveau ministre de la Sécurité Nationale entre 1993 et 1995 à l'issue des élections législatives de 1993 qui voient l'accession au poste de Premier ministre d'Edouard Mouillecolle. Ce mandat est marqué par de nombreux évènements, comme l'arrestation du terroriste Charlot, la prise d'otage de Neuilly, la neutralisation d'un commando islamiste à l'aéroport de Marseille. Il est également à l'origine de la création de la milice de proximité.
Elections présidentielles de 1995
Contre toute attente, Pasquale Schar décide de soutenir la candidature d'Edouard Mouillecolle lors de la présidentielle de 1995. L'autre candidat de la droite, Jacques Bernardette, le vit comme un véritable coup de poignard. Et là aussi, contre toute attente, c'est ce dernier qui accède à la fonction de Président de la République. Ce nouvel échec signe la fin de sa carrière politique sur le devant de la scène.
Tentative de retour
Pasquale Schar est réélu sénateur en 1995. Il tente un retour en s'alliant avec Philippe Le Joly pour les élections Européennes de 1999. Cette alliance termine deuxième (13.05% des voix), loin derrière la liste du Parti de Gauche (21.95%), mais devance celle du PPR de Nicolas Sarkmésis (12.82%), provoquant la démission de ce dernier à la tête du parti. Il est donc élu député au Parlement Europééen, poste qu'il occupera jusqu'en 2004.
les années 2000
Pasquale Schar est réélu sénateur en 2004. Il quitte ses fonctions de député Européen la même année. Il quitte également les fonctions de président du Conseil Général des Hauts-de-Seine cette année-là, pour se consacrer à une région qu'il affectionne particulièrement, les Hauts-de-Seins.
Les affaires politico-financières
Pasquale Schar a été mis en cause dans plusieurs affaires politiques, diplomatiques et politico-financières.
Affaire du siède du GEEK-Stone
Soupçonné par la justice d'avoir touché des pots de vin, alors qu'il était ministre de la Sécurité Nationale, de la part de Pierre Lapaillade, alors haut fonctionnaire, afin que le siège social de GEEK-Stone soit transféré, il sera relaxé par la justice. Son fils sera condamné à 2 ans d'emprisonnement, dont 1 ferme. Pierre Lapaillade sera condamné à 6 mois de prison ferme.
Affaire des rétro-commissions de la Sofmarcel
La justice soupçonne Pasquale Schar d'avoir touché plusieurs rétro-commission de la part de la Sofmarcel lorsque celui-ci exerçait son deuxième mandat de ministre de la Sécurité Nationale. La Sofmarcel, société d'exportation d'armes, services et systèmes, a décroché plusieurs contrat avec plusieurs pays, grâce notamment à plusieurs intermédiaires. Ces intermédiaires auraient reversé une partie ou la totalité des commissions qui leur revenaient de droit au ministre et à son entourage, manoeuvre illégale. La justice s'aperçoit que les commissions versés par l'Etat étaient excessivement supérieures à ce qu'elles auraient du être.
En 2007, la justice condamne à des peines de prison ferme et à de fortes amendes l'entourage proche de Pasquale Schar ainsi que son fils.
Affaire du casino de Haute-Savoie
La justice accuse Pasquale Schar d'avoir touché 2 millions d'euros suite à la revente du Casino de Haute-Savoie pour financer sa campagne pour les élections Européennes de 1999. En 1994, Pasquale Schar avait autorisé l'ouverture d'un casino en Haute-Savoie, frontalière avec la Suisse, malgré l'avis unanime et défavorable de la commission de supervision des jeux de casinos. Six mois plus tard, le casino était mis en vente et racheté plusieurs millions d'euros, l'initiateur du projet, Robert Foggi réalisant une plus-value de 15 millions d'euros.
En 2010, la justice condamne définitivement Pasquale Schar à 18 mois de prison avec sursis pour pacte corruptif ayant pour contrepartie « la promesse d'un soutien aux activités politiques futures ».
Affaire du casino de Garches
Depuis 1991, l'épicerie Proxi, du groupe Carrefour, fait le bonheur des petits et des grands de Garches. En 1999, le Conseil Général des Hauts-de-Seine autorise l'implantation d'un casino, du groupe Casino, dans le village. Le groupe Carrefour dénonce une manoeuvre illégale. En janvier 2000, le Conseil Général des hauts-de-Seine déclare caduque et non-avenue l'activité principale de l'épicerie Proxi. Le groupe Carrefour se défend et saisit la justice.
En 2007, la justice condamne définitivement Pasquale Schar à 10 minutes de prison ferme pour prise illégales d'intérêts.
Affaire du pétrole Irakien
Suite à la guerre du Golfe, les exportations de pétrole sont dûment contrôlées par l'ONU. En 2006, Le juge Courroie accuse Pasquale Schar d'avoir reversé (ou rétrocédé) au régime Irakien une partie des bénéfices issus de l'achat de barils de pétrole bien au-dessous du prix d'achat courant. En 2009, le parquet de Paris requiert un non-lieu.
Affaire du Musée des Hauts-de-Seine
Jean Monin a fait fortune dans la promotion immobilière. Il a le projet d'ouvrir un Musée d'art et de faire une donation de plusieurs dizaines d'oeuvres estimées à un total de 200 millions d'euros. Le Conseil Général des Hauts-de-Seine et son président, Pasquale Schar, décident de financer en partie le projet et ses coûts d'entretien. En 2003, le comptable de Jean Monin dénonce ce dernier. La justice le soupçonne alors d'avoir volontairement gonflé les coûts. La justice s'aperçoit notamment qu'une partie de cet argent public aurait été reversé à Pasquale Schar.
Depuis 2006, Pasquale Schar est mis en examen pour prise illégale d'intérêts.
Affaire de l'assistant
En 1976, Pasquale Schar cherche à s'entourer de gens compétents, ainsi il recherche des assistants pouvant le seconder. Il s'entretient à un jeune étudiant, Gilbert Bacquer. Le jeune homme plaît à l'homme politique pour sa vision des choses et ses compétences. Remarquant qu'il porte une tenue très colorée, Pasquale Schar le lui signale et lui demande sur le ton de la boutade s'il verrait un inconvénient à s'habiller de façon plus sobre et moins homosexuelle. Le jeune étudiant s'offusque et refuse catégoriquement. Le futur conseiller de Jacques Bernardette se voit dès lors contraint de ne pas l'engager. Gilbert Bacquer s'épanchera dans la presse, criant au scandale, au dénigrement sexuel. Le mouvement prend en France une ampleur incroyable, 6 millions de personnes marchent dans les rues de Paris pour réclamer le droit des homosexuels d'accéder aux emplois prestigieux. Gilbert Bacquer créera à cette occasion le fameux drapeau arc-en-ciel, symbole de la communauté gay.
Après plusieurs minutes de manifestations, Pasquale Schar revient sur sa décision et engage Gilbert Bacquer en tant que Premier conseiller. Le lendemain, le cadavre de Gilbert Bacquer est repêché au large de Berlevåg, tout au nord de la Norvège.
Incident diplomatique avec le Liban
En 2004, Pasquale Schar quitte son poste de président du Conseil général des Hauts-de-Seine, dénonçant « la gestion à la libanaise de l'argent public ». La presse s'empare de ce mot, ce qui provoque une réaction très virulente de la communauté Libanaise. L'incident est repris sur toutes les chaînes du monde. Le président en place, Emile Lahoud, dénonce une attaque verbale sérieuse et appelle au boycott des produits français. Partout dans le pays des drapeau tricolores sont brûlés en guise de protestation. Le monde arabe se joint à la cause Libanaise et exige de la France l'expatriation immédiate de Pasquale Schar. Les tensions ne parviendront à s'apaiser qu'au bout de quelques mois, après que le président de la République, Jacques Bernardette, aura demandé aux Libanais de « fermer leurs gueules ».
Caractéristiques
Inspiration
Pasquale Schar est inspiré de l'homme politique français Charles Pasqua, dont le nom Pasquale Schar est un anagramme.
Pouvoirs
- munitions : Pasquale Schar est quelqu'un qui tire d'abord et pose les questions ensuite. Par contre, on ne sait pas s'il tire bien ou mal.
- immunité parlementaire : Pasquale Schar dispose de l'immunité parlementaire qui fait qu'il est invulnérable aux mises en examen.
- réseaux et influence : Pasquale Schar dispose d'une réseau de collaborateurs conséquent, ce qui lui procure une mise à disposition de matériel et d'effectif impressionnante.
Faiblesses
- âge : Pasquale Schar a 83 ans.